C’était un autre matin, il y avait la lumière
Qui filtre la fumée des cheminées en hiver.
Il y avait sur la table et nos fruits et nos coeurs.
Pis le parfum du café qui embrassait les fleurs.
Vienne l’amour
Et le silence et les fanfares
Vienne le doute
Et le bonheur qu’il prépare
Vienne l’amour
Vienne le doute.
Et la cohue quotidienne et le temps qui passe
Tes yeux rieurs qui se posent sur ma délicatesse.
Sous tes ombrages, j’aimais à me perdre un moment
Tu étais tout ce que je suis tendre en dedans.
Vienne l’amour
Et le silence et les fanfares
Vienne le doute
Et le bonheur qu’il prépare
Vienne l’amour
Vienne le doute.
Le vent raconte que nous n’avons rien perdu.
Cet ouragan n’est en fait qu’une brise ténue.
Si la poussière du jour a besoin d’un peu d’eau,
J’offrirai quelques larmes pour éveiller ta peau.
Vienne l’amour
Et le silence et les fanfares
Vienne le doute
Et le bonheur qu’il prépare
Vienne l’amour
Vienne le doute.
Vienne l’amour
Vienne le doute.