Dans un monde de discours
T´entends toujours des gens s´avachir
Des gens qui causent qui s´débattent
Sur la vie, sur l´amour et
Alors ça fait quoi, ça fait des gens qui savent plus
Qui savent plus dire des mots simples
Toucher le vrai, palper le vrai
Alors ils sont complètement morts
Morts de peur, morts de discours
D´explications, de conclusion
Y´a plus de passion, y´a plus qu´des mots
Des mots vides qui sont gras, l´invisible
Mais toi tu sais dire sans rien dire
Avec des silences et des yeux lumineux
Toutes les histoires, tous les espoirs
Aue tu portes avec ta joie de vivre
Mon amour comme tu cours, comme tu cours
Et ces deux là qui ont si froids
Qu´osent pas se dire combien ils s´aiment
Ca s´voit trop bien dans leurs yeux
Y crèvent d´envie de s´toucher
Mais mais mais ils osent pas
Comme s´ils avaient pas le droit
Pas l´droit d´se dire combien ils tiennent
A se tenir, à se sentir
Et alors ils sont complètement morts
Morts de froid et y a du soleil
Qui savent même pas qu´y´a deux pareil
En s´enlaçant il n´y a plus de mot
Il n´y a plus qu´un feu, le feu sacré
Le feu d´aimer
Mais toi tu sais dire sans rien dire
Avec des silences et des yeux lumineux
Toutes les histoires, tous les espoirs
Que tu portes avec ta joie ta vie
Mon amour comme tu cours, comme tu cours
Paroles & Musique: Louis Ville