J'ai perdu mon sourire qui pendait pour un rien
Y'a même plus de plaisir à partager mon sein
J'ai vendu ma souffrance
J'ai perdu mon amour
J'ai pleuré mon errance à te chercher toujours
Dans mes nuits froides, j'attends que tu m'appelles enfin
Que tes bras trouvent le temps de courir vers les miens
A combler tes absences, à briser les falaises
A t'aimer en silence sur ma lune à misère
Je me souviens Maman
Des rêves qu'on avait
Je me souviens des temps
On nous marchions ensembles
J'avais des rêves Maman
Des rêves de liberté
J'aimais rêver Maman
J'aimais la vie Maman
J'ai jeté mes souvenirs dans tous les vide-ordures
Balayé mon exil pour me pendre à vos murs
Pour retrouver la paix, la paix des oubliés
Celle qu'on ne cherche plus, qu'on efface d'un trait
J'ai marché trop longtemps à user mes godasses
A essuyer les vents contraires à mes fantasmes
J'me suis perdue souvent pour des histoires d'un jour
Alors qu'aucun amant n'se verrait sur ma tour
Je me souviens Maman
Des rêves qu'on avait
Je me souviens des temps
où nous marchions ensemble
J'avais des rêves Maman
Des rêves de liberté
J'aimais rêver Maman
J'aimais la vie Maman
J'avais des rêves Maman
J'aimais, j'aimais la vie moi
J'aimais la vie Maman
J'aimais la vie Maman
J'aimais les rêves
J'avais, j'avais des rêves
J'ai perdu mon sourire qui pendait pour un rien
Y'a même plus de plaisir à partager mon sein
J'ai vendu ma souffrance
J'ai perdu mon amour
J'ai pleuré en silence de te revoir un jour
Quand la colère vous mord, que commence
La transhumance au bord, au bord
Elle s’amuse, elle dévore, bientôt tu ne seras
Plus qu’un tas de remords, si elle s’accroche à toi
Je sais de quoi je parle, je sais de quoi je parle
De figures de romans en chevauchées sans fin
On se bat pour ne pas qu’elle engloutisse en vain
Les grands sages ont bien dit, la faute est capitale
On ne la prend pour guide la colère comme étoile
Je sais de quoi je parle, je sais de quoi je parle
Quand elle prend le contrôle, inverse les rôles et fait trembler ma voix
Elle rend, la colère, la douceur amère, elle ronge sa proie
Oh combien de temps faudra-t-il avant qu’elle ouvre la voie ?
Qu’elle ouvre la voie…oh mon amour, pardonne moi
Dans les moindres recoins, dans les contrées immenses
Elle retrouve un fuyard à sa traînée d’essence
Rien ne sert de courir, adieu mon innocence
Il me faudra choisir, elle ou bien le silence
Je sais de quoi je parle, je sais de quoi je parle
Quand elle prend le contrôle, inverse les rôles et fait trembler ma voix
Elle rend, la colère, la douceur amère, elle ronge sa proie
Oh combien de temps faudra-t-il avant qu’elle ouvre la voie ?
Qu’elle ouvre la voie…oh mon amour, pardonne moi
1 Comment
A PARTAGER AVEC VOUS UNE BELLE RENCONTRE ENCHANTÉE AVEC MELISSMELL.
BONNE ECOUTE DE CE PETIT ENTRETIEN RÉALISÉ EN MARS 2013 AUX ARCS DE QUEVEN 56.
Merci de me laissez vos commentaires…
Amicalement Enchanté !
Jean-Luc HERIDEL
(Rédacteur du Blog : « LA LETTRE AUX Z’ENCHANTEES »)