Les mamans dans les squares

thumbnail

Les mamans dans les squares

Avec leurs tout petits

Font de la balançoire,

Comme c’est beau, comme c’est joli

Leurs poitrines gonflées

Pleines de bonheur, pleines de gaieté, 

S’envolent dans les airs…

J’ai du mal à r’garder par terre

 

Moi j’aime bien les mamans

Moi j’aime bien les squares

Mais ce que je préfère oui ce que je préfère

Ce sont les mamans dans les squares 

 

Tout près du tourniquet

Leurs toutes petites robes d’été

Laissent apparaître à chaque passage

De leurs mouflets pas toujours sages

Leurs jolies jambes dénudées

Qui se dévoilent jusqu’au sommet

Et quand le rythme s’accélère

J’ai du mal à r’garder par terre

 

Refrain

 

Mais la cerise sur le gâteau 

La part du lion le boléro

C’est lorsque d’un pas décidé

Elle se dirigent vers le sommet

De celui sur lequel on glisse

La jupe relevée en haut des cuisses

Je voulais parler du toboggan 

Mais là ça d’viendrait trop violent

 

Refrain

 

Alors pour me calmer un peu

Dans le bac à sable je me fais des jeux

Je remplis ma pelle et puis mon seau

Tout en pensant à mes impôts

Lorsque soudain devant moi se dresse

Une vraie panthère une vraie déesse

Qui dans ses bras tient mes enfants

Et qui se fait appeler maman. 

 

Paroles et musique: Vermeulen

Arrangements: Sébastien Souchois

 

Les mamans dans les squares

Avec leurs tout petits

Font de la balançoire,

Comme c’est beau, comme c’est joli

Leurs poitrines gonflées

Pleines de bonheur, pleines de gaieté, 

S’envolent dans les airs…

J’ai du mal à r’garder par terre

 

Moi j’aime bien les mamans

Moi j’aime bien les squares

Mais ce que je préfère oui ce que je préfère

Ce sont les mamans dans les squares 

 

Tout près du tourniquet

Leurs toutes petites robes d’été

Laissent apparaître à chaque passage

De leurs mouflets pas toujours sages

Leurs jolies jambes dénudées

Qui se dévoilent jusqu’au sommet

Et quand le rythme s’accélère

J’ai du mal à r’garder par terre

 

Refrain

 

Mais la cerise sur le gâteau 

La part du lion le boléro

C’est lorsque d’un pas décidé

Elle se dirigent vers le sommet

De celui sur lequel on glisse

La jupe relevée en haut des cuisses

Je voulais parler du toboggan 

Mais là ça d’viendrait trop violent

 

Refrain

 

Alors pour me calmer un peu

Dans le bac à sable je me fais des jeux

Je remplis ma pelle et puis mon seau

Tout en pensant à mes impôts

Lorsque soudain devant moi se dresse

Une vraie panthère une vraie déesse

Qui dans ses bras tient mes enfants

Et qui se fait appeler maman. 

 

Paroles et musique: Vermeulen

Arrangements: Sébastien Souchois

 

Au comptoir des coudes usés

thumbnail

Aux comptoirs des coudes usés

Nos histoires deviennent légendes

Viens-y vivre avec la bande

Visiter notre musée.

 

Visiter notre musée

Ramène ta poire qu’on t’la fende

Même si t’as l’pépin serré

Les pleurs sont pas à l’amende.

 

Aux comptoirs des coudes usés

L’malheur n’ose plus s’y rendre

On se compte à s’y damner

Pour mourir de rire à s’y pendre.

 

Aux comptoirs des coudes usés

On dégaine sa rengaine

On r’vient boire sa migraine

Sur le cul d’un tabouret.

 

Sur le cul d’un tabouret

Allez c’est ça, à la tienne

T’as l’humour j’ai la santé

Je t’offre un coup et tu payes.

 

Aux comptoirs des coudes usés

Vingt dieux que la vie est belle

Les troquets du monde entier

Sont des béquilles en bouteille.

 

Aux comptoirs des coudes usés

Y’a l’envie qui dégouline

Sur le p’tit corps d’une frangine

Venue se boire un café.

 

Venue se boire un café

Mais qui n’a rien à nous dire

On a les yeux démodés

Quand on a le cœur en ruine.

 

Aux comptoirs des coudes usés

Les dés sont pipés, frangine

Au casino du quartier

C’est l’amour sans caféine

 

Aux comptoirs des coudes usés

C’est dans la brume des clopes

Et dans l’écume des chopes 

Qu’on oublie d’être oublié.

 

Qu’on oublie d’être oublié

On est brouillon, mais qu’importe

Ça sent si bon d’exister

Camille, quand t’ouvres ta porte.

 

Aux comptoirs des coudes usés

De cerise en feuille morte

Ton compte est bon, t’es barré

Pour une saison sans flotte.

 

Aux comptoirs des coudes usés

Y’a des tauliers qui nous blaguent

Pour que des rires s’attardent

Sur nos lèvres fatiguées.

 

Sur nos lèvres fatiguées

On a plié nos bagages

Pris d’assaut cent mille fois

Un bateau dans les parages.

 

Mais, aux comptoirs des coudes usés

On quitte jamais le rivage

Les comptoirs des coudes usés

Ce sont mes plus beaux voyages

 

Paroles et musique:  Christophe  Gracien

 

Aux comptoirs des coudes usés

Nos histoires deviennent légendes

Viens-y vivre avec la bande

Visiter notre musée.

 

Visiter notre musée

Ramène ta poire qu’on t’la fende

Même si t’as l’pépin serré

Les pleurs sont pas à l’amende.

 

Aux comptoirs des coudes usés

L’malheur n’ose plus s’y rendre

On se compte à s’y damner

Pour mourir de rire à s’y pendre.

 

Aux comptoirs des coudes usés

On dégaine sa rengaine

On r’vient boire sa migraine

Sur le cul d’un tabouret.

 

Sur le cul d’un tabouret

Allez c’est ça, à la tienne

T’as l’humour j’ai la santé

Je t’offre un coup et tu payes.

 

Aux comptoirs des coudes usés

Vingt dieux que la vie est belle

Les troquets du monde entier

Sont des béquilles en bouteille.

 

Aux comptoirs des coudes usés

Y’a l’envie qui dégouline

Sur le p’tit corps d’une frangine

Venue se boire un café.

 

Venue se boire un café

Mais qui n’a rien à nous dire

On a les yeux démodés

Quand on a le cœur en ruine.

 

Aux comptoirs des coudes usés

Les dés sont pipés, frangine

Au casino du quartier

C’est l’amour sans caféine

 

Aux comptoirs des coudes usés

C’est dans la brume des clopes

Et dans l’écume des chopes 

Qu’on oublie d’être oublié.

 

Qu’on oublie d’être oublié

On est brouillon, mais qu’importe

Ça sent si bon d’exister

Camille, quand t’ouvres ta porte.

 

Aux comptoirs des coudes usés

De cerise en feuille morte

Ton compte est bon, t’es barré

Pour une saison sans flotte.

 

Aux comptoirs des coudes usés

Y’a des tauliers qui nous blaguent

Pour que des rires s’attardent

Sur nos lèvres fatiguées.

 

Sur nos lèvres fatiguées

On a plié nos bagages

Pris d’assaut cent mille fois

Un bateau dans les parages.

 

Mais, aux comptoirs des coudes usés

On quitte jamais le rivage

Les comptoirs des coudes usés

Ce sont mes plus beaux voyages

 

Paroles et musique:  Christophe  Gracien

 

J’ai tant rêvé de toi

thumbnail

J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité.
Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant
Et de baiser sur cette bouche la naissance
De la voix qui m’est chère?

J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués
En étreignant ton ombre
A se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas
Au contour de ton corps, peut-être.
Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante
Et me gouverne depuis des jours et des années,
Je deviendrais une ombre sans doute.
O balances sentimentales.

J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps
Sans doute que je m’éveille.
Je dors debout, le corps exposé
A toutes les apparences de la vie
Et de l’amour et toi, la seule
qui compte aujourd’hui pour moi,
Je pourrais moins toucher ton front
Et tes lèvres que les premières lèvres
et le premier front venu.

J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé,
Couché avec ton fantôme
Qu’il ne me reste plus peut-être,
Et pourtant, qu’à être fantôme
Parmi les fantômes et plus ombre
Cent fois que l’ombre qui se promène
Et se promènera allègrement
Sur le cadran solaire de ta vie.

 Poème de Robert Desnos

Musique: Michel Arbatz

Chanté par Michel Arbatz

 

 

 

J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité.
Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant
Et de baiser sur cette bouche la naissance
De la voix qui m’est chère?

J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués
En étreignant ton ombre
A se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas
Au contour de ton corps, peut-être.
Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante
Et me gouverne depuis des jours et des années,
Je deviendrais une ombre sans doute.
O balances sentimentales.

J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps
Sans doute que je m’éveille.
Je dors debout, le corps exposé
A toutes les apparences de la vie
Et de l’amour et toi, la seule
qui compte aujourd’hui pour moi,
Je pourrais moins toucher ton front
Et tes lèvres que les premières lèvres
et le premier front venu.

J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé,
Couché avec ton fantôme
Qu’il ne me reste plus peut-être,
Et pourtant, qu’à être fantôme
Parmi les fantômes et plus ombre
Cent fois que l’ombre qui se promène
Et se promènera allègrement
Sur le cadran solaire de ta vie.

 Poème de Robert Desnos

Musique: Michel Arbatz

Chanté par Michel Arbatz

 

 

 

Liberté

thumbnail
   Ne nous parlez plus de héros, ne nous parlez plus de révolution, dites-nous combien ils restent encore ?Vous laissez derrière vous des rêves pillés, des mondes gaspillés, des soleils ...
   Ne nous parlez plus de héros, ne nous parlez plus de révolution, dites-nous combien ils restent encore ?Vous laissez derrière vous des rêves pillés, des mondes gaspillés, des soleils ...

Ma préférence

thumbnail
Je le sais Sa façon d´être à moi, parfois Vous déplait Autour d´elle et moi le silence se fait Mais elle est Ma préférence à moi…   Oui, je sais Cet air d´indifférence qui est Sa ...
Je le sais Sa façon d´être à moi, parfois Vous déplait Autour d´elle et moi le silence se fait Mais elle est Ma préférence à moi…   Oui, je sais Cet air d´indifférence qui est Sa ...

Prends ton courage et continue

thumbnail
  Pour celui qui ne verra plus le grand miracle de la vie, Pour celui qui n’entendra plus parler d’amour, parler d’oubli, Pour celui qui ne pourra plus sentir la chaleur de ...
  Pour celui qui ne verra plus le grand miracle de la vie, Pour celui qui n’entendra plus parler d’amour, parler d’oubli, Pour celui qui ne pourra plus sentir la chaleur de ...

Vierzon

thumbnail
Qui aurait dit qu´un jour, entre deux chansons, Je ferais un détour, pour aller voir Vierzon? Ce que la vie est drôle, quarante ans sans se voir, T´arrive, sans crier gare, et je pleure comme un ...
Qui aurait dit qu´un jour, entre deux chansons, Je ferais un détour, pour aller voir Vierzon? Ce que la vie est drôle, quarante ans sans se voir, T´arrive, sans crier gare, et je pleure comme un ...

Tu ne me dois rien

thumbnail
Je ne t’entends pas très bien il y a si longtemps d’où m’appelles tu ? D’où vient ce besoin si pressant de m’écouter soudain ? Les poules auraient-elles des dents ?  ...
Je ne t’entends pas très bien il y a si longtemps d’où m’appelles tu ? D’où vient ce besoin si pressant de m’écouter soudain ? Les poules auraient-elles des dents ?  ...